Les Fourberies de Scapin

Les Fourberies de Scapin

A partir de 7 ans.

Les Fourberies de Scapin

Affiche Une semaine pas plus

Les Fourberies de Scapin

Une version éminemment tonique de la plus célèbre des comédies de Molière.
Un Scapin virevoltant dénoue avec malice les intrigues amoureuses tout en réglant ses comptes avec les tyrannies paternelles.
A partir de 7 ans.

Nomination Molières 2017 : meilleur spectacle jeune public.

De Molière
Mise en scène : Jean-Philippe Daguerre

Avec : Geoffrey PALISSE, Constantin BALSAN ou Henri JONQUÈRES D’ORIOLA, Pierre BENOIST ou Stéphane VALIN,  Manoulia JEANNE, Patrick CLAUSSE, Théo DUSOULIÉ, David MALLET, Agathe SANCHEZ

Représentations à 14h :

Octobre : samedi 21, lundi 23, samedi 28

Novembre
: samedi 4, samedi 11, samedi 25

Décembre
: samedi 9, samedi 16, samedi 23, mercredi 27, vendredi 29, samedi 30

Janvier
: mardi 2, mercredi 3, vendredi 5, samedi 6, samedi 13, samedi 20

Février
: lundi 12, lundi 19, mardi 20, vendredi 23, samedi 24

Mars
: samedi 9, samedi 23, samedi 30

Avril
:  samedi 6, mardi 9, vendredi 12, samedi 13, jeudi 18, samedi 20, samedi 27

Mai
 : samedi 4
 

 

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Jours et horaires

Les samedis à 14h à partir du 21 octobre.
Supplémentaires pendant les vacances scolaires.

 

Prix des places

Catégorie unique – placement libre :
adulte 25 €, enfant (- de 18 ans) 15 €.

 

Une Histoire d’amour

Une Histoire d’amour

Une Histoire d’amour

Triomphe – Reprise

A partir du 18 octobre 2023

Affiche Une semaine pas plus

La création d’Alexis Michalik
“Une Histoire d’amour”

Molière 2020 du metteur en scène (Théâtres privés), 4 nominations.

 

Justine veut un enfant. Katia, trop souvent blessée par la vie, finit par accepter qu’elles tentent toutes les deux une insémination artificielle. Katia tombe enceinte, mais quelques jours avant la naissance de leur enfant, Justine disparaît… Douze ans plus tard, Katia va mourir. Elle va devoir trouver un tuteur pour sa fille, Jeanne. Sa seule option : son frère, William, écrivain cynique, qu’elle n’a pas vu depuis 5 ans.


“Alexis Michalik est diaboliquement habile” – Télérama

“Entre rire et larmes” – France-Info

“Une mise en scène tourbillonnante” – Figaroscope

“Coup de cœur. Formidable, drôle et touchante !” – Europe 1

Distribution

Avec en alternance :
Salomé Benchimol ou Juliette Delacroix ou Julia Le Faou,
Paul Lapierre ou Adrien Cauchetier ou Clément Aubert,
Marica Soyer ou Camille Bardery ou Stéphanie Caillol,
Alexia Giordano ou Claire Tran ou Magali Lange ou Pauline Bression,
Lila Fernandez ou Ambre Pallas ou Lewine Weber ou Grisel Chapet.

Texte et mise en scène : Alexis Michalik
Assistante mise en scène: Ysmahane Yaqini,
assistée de Clémentine Aussourd
Décor : Juliette Azzopardi
Costumes : Marion Rebmann, assistée de Violaine de Maupeou
Lumières : Arnaud Jung

Vidéo : Mathias Delfau
Son : Pierre-Antoine Durand
Chorégraphie : Fauve Hautot
Perruques : Julie Poulain

Durée du spectacle : environ 1h25.

Les avis des spectateurs

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Jours et horaires

Représentations à partir du 18 octobre, du mercredi au samedi à 21h, matinée le dimanche à 15h.

Prix des places

Carré Or : 43 €
1ère catégorie : 36 €
2e catégorie : 27 €

Glenn, naissance d’un prodige

Glenn, naissance d’un prodige

Triomphe – Prolongations

2 Molières 2023

Affiche Une semaine pas plus

Glenn, naissance d’un prodige


2 Molières 2023 :

révélation féminine pour Lison Pennec,
révélation masculine pour Thomas Gendronneau


6 nominations aux Molières 2023
– Meilleur spectacle théâtre privé
– Auteur 
– Comédienne dans un second rôle 
– Comédien dans un second rôle 
– Révélation féminine 
– Révélation masculine 

Relâches : vendredi 4, samedi 5 et mercredi 9 août.


APRÈS SON TRIOMPHE AU PETIT MONTPARNASSE, LA NOUVELLE CRÉATION D’IVAN CALBÉRAC PROLONGE AU SPLENDID !

Sous l’impulsion de sa mère qui rêvait d’être concertiste, Glenn Gould commence le piano dès l’âge de deux ans et demi, et s’y révèle aussitôt très doué. Devenu adulte, il va totalement révolutionner la façon de jouer du piano, et vendre autant de disques que les plus grandes rock star. Mais plus le public l’acclame, plus Glenn en souffre, car sa personnalité Asperger et hypocondriaque lui rend chaque concert extrêmement pénible et douloureux. Sans parler de sa vie privée, totalement sacrifiée…

 C’est l’histoire du destin extraordinaire et tragique d’un des plus grands artistes du 20ème siècle.

“Puissant” – Le Figaro
“Bluffant” – “Tendre, drôle et poignant” – Le Parisien
“Coup de cœur” – Le JDD
“Une pépite” – La Provence

*** Triomphe Avignon 2022 ***

Distribution

Avec : Raphaëline Goupilleau, Nicolas Avinée ou Thomas Gendronneau, Agnès Claverie ou Lison Pennec, Alban Aumard ou Benoît Tachoires ou Michel Scotto di Carlo, Julien Rochefort ou Bernard Malaka, Séphane Roux ou Stéphane Ronchewski

Texte et mise en scène : Ivan Calbérac
Scénographie : Juliette Azzopardi, Jean-Benoît Thibaud
Lumières : Alban Sauvé

Costumes : Bérangère Roland
Vidéo : Nathalie Cabrol
Assistante à la mise en scène : Florence Mato

Durée du spectacle : environ 1h30.

C’est l’histoire d’une mère qui fait reposer sur son fils tous les rêves qu’elle n’a pu réaliser elle-même. C’est l’histoire d’une demoiselle qui tombe éperdument amoureuse d’un garçon qui lui joue trop bien du piano, garçon que la célébrité va rendre de plus en plus désirable, mais aussi, hélas, de plus en plus inaccessible. C’est l’histoire d’un artiste inclassable, aussi libre dans son art qu’il était prisonnier au quotidien de ses insomnies, de ses phobies sociales, de son hypocondrie.

Derrière ce destin hors du commun, c’est aussi une réflexion sur le statut d’artiste qui sous tend la pièce, statut que Gould n’a jamais cessé d’interroger, et de réinventer. « A quoi bon jouer une œuvre de Bach, si elle a déjà été jouée comme ça ? », répétait souvent le pianiste. Son obsession était à chaque fois d’apporter sa propre lecture à un concerto, une sonate, une partita… Quitte à changer le tempo de la partition, voire parfois même, à ne pas jouer toutes les notes… ou en jouer de nouvelles.

Cette interrogation sur le rôle de l’artiste me semble plus actuelle que jamais, et tout spécialement au théâtre. Que pouvons-nous apporter de vraiment vivant au public ? Comment ne pas faire du spectacle « mort » ? Comment se réinventer face à tous les mondes virtuels qui prennent de plus en plus de place dans nos vies ?

J’ai souhaité m’inscrire dans la philosophie de Gould, en essayant de raconter son histoire sous un angle différent. Dans le destin de ce prodige, ce qui m’a le plus marqué, c’est son rapport à sa mère, une mère étouffante, fusionnelle et probablement incestueuse que Glenn n’a jamais réussi à tuer symboliquement, et qui semble l’avoir traumatisé au point de ne jamais avoir été capable de vivre de relation amoureuse stable… Le pianiste a fini par se retirer du monde, pour une solitude qu’il présentait comme un idéal, mais dont il semblait souffrir bien souvent… Et qui l’a vu décliner si rapidement.

Plus qu’un « biopic », c’est donc l’histoire d’un drame que j’ai voulu écrire, une tragédie familiale, shakespearienne, ou plus le temps passe, moins les êtres qui s’y débattent n’ont de chance de trouver ce bonheur qu’il leur échappe, et bien au contraire, plus ils courent vers leur perte, et leur disparition prématurée.

J’ai souhaité une mise en scène particulièrement rythmée, enchainant les lieux et les époques sans laisser le temps de souffler au spectateur, le faisant s’immerger peu à peu dans l’univers de Gould, de son génie, de ses démences, de son humour aussi… souvent malgré lui ! La direction d’acteur pendant les répétitions a été particulièrement musicale : travail sur le phrasé, le tempo, les silences, les respirations, l’expressivité.  Le travail de la scénographie fut guidé par une volonté de sobriété et d’élégance, limiter les accessoires et les meubles, pour laisser s’épanouir l’imagination, garder un peu de cet espace vide cher à Brook, et en même temps, proposer des images qui impriment la mémoire, et racontent l’histoire à un autre niveau. Nos références, avec ma scénographe et mon créateur lumière, se sont orientées notamment vers les œuvres du peintre Edward Hopper.

Enfin, la musique est omniprésente dans le spectacle, c’est un personnage à part entière. Un travail sur le corps a été accompli avec le comédien jouant Glenn sur le geste qui la produit, sur ce mystère du mouvement qui crée le son, la note, parmi des centaines d’autres, celle qui nous touche sans que l’on ne comprenne jamais vraiment pourquoi.

Ivan CALBÉRAC – auteur & metteur en scène

Les avis des spectateurs

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Jours et horaires

Représentations du mercredi au samedi à 21h, matinée le samedi à 16h30,
relâches : vendredi 4, samedi 5 et mercredi 9 août.

Prix des places

Carré Or : 48 €
1ère catégorie : 40 €
2e catégorie : 31 €

Les crapauds fous

Les crapauds fous

Les crapauds fous

PROLONGATIONS

Affiche Une semaine pas plus


Les crapauds fous

 


3 nominations aux Molières 2019 :
Théâtres Privés :
Meilleur spectacle – Meilleur auteur – Meilleure mise en scène

L’histoire vraie et extraordinaire de médecins polonais qui durant la Seconde Guerre mondiale sauvèrent des milliers de vies… En organisant une vaste supercherie.
Avec 9 comédiens sur scène interprétant plus de 20 personnages !

1990, New York.
Une étudiante en psychologie rend visite à Stanislaw, médecin à la retraite, pour en savoir plus sur son grand-père, Eugène, et sur ses actions pendant la Seconde Guerre mondiale.

1940, Rozwadów, Pologne.

Deux jeunes médecins, Eugène et Stanislaw, mettent au point un ingénieux stratagème pour berner les nazis et empêcher les déportations de tous les habitants menacés… Mais leur ruse ne tarde pas à éveiller les soupçons dans les rangs du IIIème Reich et les deux amis doivent rivaliser d’inventivité pour que le château de cartes qu’ils ont érigé ne s’écroule pas sur eux.

Dans cette histoire, qui oscille entre deux époques, se croisent une vingtaine de personnages pris dans les rouages fragiles d’une machination vertigineuse.

Distribution

Une pièce écrite et mise scène en scène par Mélody Mourey

Avec (en alternance) : Benjamin Arba ou Blaise Le Boulanger, Charlotte Bigeard ou Claire-Lise Lecerf, Constance Carrelet ou Tadrina Hocking ou Laurence Gray,  Hélie Chomiac ou Alain Bouzigues, Gaël Cottat ou Rémi Couturier, Charlie Fargialla ou Paul Delbreil, Damien Jouillerot ou Thibaud Pommier, Lydie Misiek ou Charlotte Valensi, Christian Pelissier ou Frédéric Imberty.

Chorégraphie : Reda Bendahou – Scénographie : Hélie Chomiac – Musiques : Simon Meuret

 

La presse en parle

  TT On aime beaucoup
Dans la sélection des 15 pièces de théâtre immanquables de la rentrée à Paris. Lire l’article en entier.


 **** Une pièce virevoltante.

La pièce, présentée comme une comédie d’aventure, dose également moments d’humour pur et d’émotions vives. Un parti pris osé et dans l’ensemble brillamment relevé. On se passionne pour cette jolie histoire, hommage à ces crapauds fous, ces hommes et ses femmes qui ont dit non. Nous, on leur dit un grand oui.  Lire l’article en entier.


 ♥♥♥. Verbe juste, geste sûr, Mélody Mourey orchestre des allers-retours entre passé et présent, événements dramatiques et certains plus légers. […] Cette pièce chorale voit neuf comédiens dans vingt rôles différents […] Les deux principaux campés par Charlie Fargialla et Gaël Cottat sont formidables.


Cette stupéfiante épopée redonne foi en l’avenir et nous rappelle que, plus jamais, nous avons besoin de crapauds fous.


Neuf comédiens qui jouent près de 15 personnages cadencent cette aventure. Le spectateur est emporté par une écriture incisive qui rappelle le rythme d’une série télé. Voir la chronique vidéo.


C’est rare une réussite comme celle-ci. Non que le spectacle soit parfait mais il est mieux que cela : humain et nécessaire


On savoure cette pièce bondissante : Un volume de la liste de Shindler + une dose d’Edmond + deux traits de Papy fait de la résistance


 Une page d’Histoire dans un joyeux galop

La spectacle a le style des Béliers parisiens, cette gaieté qui s’insère dans tous les domaines, jusqu’à la tragédie : il utilise des décors sur roulettes qui se déplacent et se transforment à grande vitesse, le jeu des comédiens passe aussi par la transformation et fonctionne sur la rapidité et la nervosité de l’interprétation. Mélody Mourey et ses acteurs ont la bonne adrénaline. Gilles Costaz Lire l’article en entier.


 Un spectacle utile, drôle et touchant.

Cette pièce est captivante, bluffante et pleine d’humour ! Voir la chronique vidéo.


Cette “comédie d’aventure” réussit l’exploit d’employer neuf comédiens pour vingt personnages. Mine d’or d’inventivité, de générosité et d’humour. Un éloge du courage et de la rébellion qu’il est bon d’aller voir en ces temps de lutte. À ne pas manquer !


Le Schindler polonais. […] L’intrigue des Crapauds fous est incroyable. […] Un spectacle drôle et poignant autour de deux insoumis courageux qui ont dit “non”.


Une histoire vraie, portée par un superbe texte, où se mêle émotion et humour. […] L’énergie des deux amis est admirablement portée par le duo d’acteurs, aux côtés des autres personnages, formidables aussi. On s’inquiète d’abord, puis on virevolte, on s’emballe.


Une pièce vive et pleine d’esprit.

Les avis des spectateurs

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Jours et horaires

Jeudi, vendredi et samedi à 19h, jusqu’au 30 septembre,
prolongations du 19 octobre au 7 janvier : jeudi, vendredi et samedi à 19h, dimanche à 17h,
supplémentaires à 19h : mercredi 25 octobre, mardi 31 octobre, mercredi 1er novembre, mardi 26 et mercredi 27 décembre, mardi 2 et mercredi 3 janvier.

Durée du spectacle : environ 1h35.

Prix des places

Carré Or : 44 €
1ère catégorie : 39 €
2e catégorie : 31 €

Bruno Moynot imite mal les humains

Bruno Moynot imite mal les humains

A partir du 8 novembre

Bruno Moynot imite mal les humains

Affiche Une semaine pas plus

Bruno Moynot
imite mal les humains

Le premier seul en scène de Bruno Moynot.

Comme le dit la présentation du spectacle qu’il a lui-même écrite : « Bruno Moynot, dans ce spectacle aux multiples facettes vous surprendra par son agilité physique et son érudition grégaire. Vous sortirez de là grandi ou agrandi, mais certainement pas indiffèrent. »

Ce seul en scène est une aventure burlesque, un voyage hilarant dans le cerveau de Bruno Moynot. Vous y croiserez un mime maltraité, un édredon sexuellement déviant, un voyant réfractaire, ou encore un scientifique électrocuté. 
Bref, ne ratez surtout pas ce spectacle.

On ne présente plus Bruno Moynot… Ou plutôt si, mais rapidement, en quelques mots. En un seul peut-être : Preskovitch… Zadko Preskovitch, le voisin bulgare -mais surtout embarrassant- du cultissime « Le père noël est une ordure ».

Ceci dit, il n’a pas fait que ça, il a commis d’autres choses avec la bande du Splendid, mais pas que ! mais ceci n’est pas un C.V et si vous voulez en savoir plus, y’a Wikipédia.

Mise en scène : Samir Bouadi
Textes : Samir Bouadi, Bruno Moynot, Vanessa Szumeraj

“Un spectacle “old school” et savoureux”  “Le public se marre (…)” LE PARISIEN

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Jours et horaires

Supplémentaires les 6 et 13 décembre à 19h.

 

Prix des places

Catégorie unique – placement libre : 20 €
Tarif promotion (dans la limite des places disponibles) : 12 €